Demain la Seleção espoirs affrontera la Macédoine lors d'un match décisif pour les aspirations Portugaises dans la compétition. Avant de sortir la calculette, les joueurs devront gagner mais aussi, marquer le plus de buts possible...
Car après avoir perdu la rencontre face à l'Espagne 3-1 lors de la deuxième journée du tournoi, le Portugal ne peut plus garantir la première place de son groupe et pour se qualifier pour les demies, il faudra finir en tant que meilleur deuxième des 3 groupes.
Une place qui devrait se jouer avec l'Italie, la République Tchèque ( groupe C) et la Slovaquie ( groupe A).
Égalité parfaite
À l'heure actuelle, ces 4 équipes sont à égalité parfaite. Chacune de ses 4 sélections comptent 3 points, une différence de buts nulle, avec 3 buts marqués pour 3 encaissés.
Ainsi pour se qualifier les hommes de Rui Jorge devront obtenir la victoire la plus large possible face à la Macédoine de préférence sans encaisser de buts et ensuite espérer que leurs concurrents directs fassent moins bien que la Seleção.
Surtout que si demain le Portugal connaîtra déjà le résultat de la Slovaquie, qui affronte en ce moment même la Suède dans le groupe A, l'Italie et l'Allemagne sauront également à quoi s'en tenir avant de s'affronter samedi dans le groupe C.
De plus, si l'Italie s'impose face à la Mannschaft et que dans le même temps la République Tchèque fasse de même contre le Danemark, on aura 3 équipes a égalité dans ce groupe C, avec chacune six points, ce qui pourrait compliquer les calculs de la Seleção, surtout en cas de duel face aux Allemands.
Et si cela venait à arriver, on devra sortir s'en tenir aux critères de l'UEFA pour les départager dans l'ordre suivant:
1. Les points
2. La différence de buts
3. Les buts marqués
4. Le Fair Play ( cartons)
5. Le dernier classement UEFA.
Donc pour résumer, les choses sont en fait assez simples, le Portugal doit battre la Macédoine avec une avalanche de buts et espérer que ses adversaires directs ne fassent pas pas mieux. Rien de bien compliqué pour nous Portugais, qui sommes déjà habitués à souffrir...